L’histoire d’Aqua Nat’ Juvignac,
AQUA NAT’JUVIGNAC (ANJ) est une association sportive, implantée depuis 2020 à Juvignac (34), club de la métropole de Montpellier. Elle est régie par la loi 1901 et donc dirigée par une équipe de bénévoles.
Damien Barral président et Elisa Ferrières Trésorière sont bénévoles à ANJ depuis sa création.
Ils sont aidés dans leurs tâches par un Conseil d’Administration composé de 6 membres. ANJ qui compte plus de 150 membres licenciés à la FFN est une des places fortes de l’apprentissage de la natation pour les enfants de 3 à 8 ans sur la métropole de Montpellier. A ANJ nous sommes attachés à la mixité sociale, culturelle et économique, assurés que le sport est un vecteur majeur d’inclusion et de partage.
Parmi ses actions sociales et solidaires, ANJ permet chaque année à 120 enfants de la ville de Juvignac d’apprendre à nager à travers des stages gratuits durant les vacances scolaires.
Pour aller plus loin dans l’inclusion, une section handisport a été ouverte depuis 2023.
Aqua Nat’ et le handisport,
En 2016, Damien Barral, président de l’association et surtout maître nageur spécialisé en sport adapté, ouvre une section handisport, dans le club où il travail à cette époque. Damien connaît Léa depuis de longues années, car leurs routes se sont croisé plus d’une fois au bord des bassins. En tant que valide, Léa est un espoir de la natation Française. Mais c’est suite à un accident de la route, le 17 octobre 2014 en se rendant à l’entrainement, que Léa devient paraplégique …
Quelques années après l’accident, Léa décide de retourner au bord des bassins. Au même moment, Damien décide d’ouvrir une section handisport dans son propre club : Aqua Nat’ Juvignac. C’est là que l’histoire du handisport commence pour ANJ.
L’objectif de Léa et de son coach : Faire les Jeux de Paris 2024.
Léa s’entraîne sans relache, entre la musculation, les entraînements, et sa force de caractère tout est mis en oeuvre pour que cet objectif soit atteint.
Malheureusement c’est un choc pour Léa et son équipe lorsqu’elle apprend qu’elle ne participera pas aux JO, non par manque de résulats, en effet Léa avait réalisé ce qu’on appel les minima ( temps qualificatif), mais bien par « manque de place ». Elle avait fait le travail, mais elle n’aura jamais la récompense.